Méandres de moi (le mémorial de la Shoah)
19 septembre 2014
Étendue grise, dans la longueur. Comme une mare, un lac, une flaque. Plane, opaque, dans laquelle on ne se reflète pas. Dans le mouvement du jour, de la vie, de la foule, pas pressé, pressant, passant, café, attaché, cas stressant, on ne le remarque pas, on passe à côté comme s’il n’existait pas. En voiture, à vélo, sans les touristes. Rien. Un détail dans la ville. Mais là, aujourd’hui, devant…